 | Auteur: Stig Harlan Editions: Autoédité, 2025 Nombre de pages: 242 Quatrième de couverture: Belle, vicieuse, charismatique, arrogante et dangereuse… Telle est Faby, la nouvelle star des circuits de Formule 1. Surdouée et déterminée, elle excelle autant par ses compétences de pilote que par sa capacité à manipuler, utilisant tous les ressorts – y compris les plus sombres – pour imposer sa loi dans cet univers ultra-compétitif et souvent machiste. Mais derrière cette rude façade se cache une fille au cœur brisé, une âme en quête de justice, ravagée par ceux qui lui ont volé son passé. Sa vengeance, implacable et méticuleuse, la pousse à côtoyer ses ennemis, désormais si proches. Sa mission : les démasquer, puis les détruire, pièce par pièce. Conciliant action, aventure sportive, et enquête à suspens, « Je t’aurai au tournant » s’impose comme un récit nerveux et palpitant qui file à la vitesse d’un Grand Prix F1. Il nous permet aussi de découvrir une personnalité hors du commun : Faby, une héroïne sexy et badass qu’on aime détester ou qu’on se déteste d’aimer. Remerciements: Je tiens à remercier chaleureusement l'auteur pour cette découverte qui décoiffe! |
Avis:
Je dois dire que quand l’auteur m’a proposé de découvrir son roman, je n’ai pas hésité longtemps car la quatrième de couverture a tout de suite éveillé mon intérêt. Les courses automobiles, ce n’est pas forcément ce qui m’attire le plus à la base, mais j’aime les romans qui décoiffent et qui sont rythmés et c’était bien la promesse faite par le résumé. Autant le dire tout de suite, elle a été totalement remplie et j’ai dévoré ce roman de bout en bout.
Nous faisons donc la connaissance de Faby. Faby n’est pas une femme comme les autres, car elle compte bien faire sa place dans le monde de la F1 et prouver aux hommes qu’une femme peut leur mener la vie dure. Nous découvrons donc son combat et ses manigances pour y arriver et faire sa place dans une écurie.
Mais Faby ne rêve pas seulement de devenir la meilleure pilote au monde, elle poursuit aussi d’autres desseins que nous allons petit à petit découvrir au fil des pages, de quoi rendre cette lecture encore plus palpitante et totalement dingue ! Je dois admettre que je ne m’attendais pas du tout au chemin pris l’histoire et j’ai été passionnée par cette recherche de vérité.
L’auteur distille les informations au compte-goutte, de quoi maintenir notre intérêt tout au long du récit et nous donner envie d’en apprendre toujours plus. Comme il s’agit d’un premier tome, tout n’est pas encore dévoilé, mais il fait déjà plus que fort avec ce premier opus !
En parallèle de cette enquête, les courses sont toutes plus dingues les unes que les autres. J’ai vraiment eu la sensation d’y être et de les vivre en direct, ce qui est passionnant et en même temps un peu stressant. Ce que nous commençons de découvrir intrigue fortement et le dessous des courses fait vraiment frémir.
Si le récit est incroyable et les rebondissements nombreux, j’ai eu plus de mal avec l’héroïne. Elle est vraiment badass, il n’y a pas à dire, et j’adore vraiment ce côté-là. Toutefois, elle a des attitudes et des manières de faire avec lesquelles j’ai du mal et je dois admettre qu’elle m’a un peu énervée par moment et que j’avais très envie de la faire descendre de son piédestal.
Mais en même temps, c’est par ce caractère et cette façon d’être que l’histoire prend aussi tout son sens. Donc, comme le dit si bien l’auteur, Faby c’est une héroïne « qu’on aime détester ou qu’on se déteste d’aimer ». Je ne pourrais pas mieux résumer mon ressenti !
Je dois dire que quand l’auteur m’a proposé de découvrir son roman, je n’ai pas hésité longtemps car la quatrième de couverture a tout de suite éveillé mon intérêt. Les courses automobiles, ce n’est pas forcément ce qui m’attire le plus à la base, mais j’aime les romans qui décoiffent et qui sont rythmés et c’était bien la promesse faite par le résumé. Autant le dire tout de suite, elle a été totalement remplie et j’ai dévoré ce roman de bout en bout.
Nous faisons donc la connaissance de Faby. Faby n’est pas une femme comme les autres, car elle compte bien faire sa place dans le monde de la F1 et prouver aux hommes qu’une femme peut leur mener la vie dure. Nous découvrons donc son combat et ses manigances pour y arriver et faire sa place dans une écurie.
Mais Faby ne rêve pas seulement de devenir la meilleure pilote au monde, elle poursuit aussi d’autres desseins que nous allons petit à petit découvrir au fil des pages, de quoi rendre cette lecture encore plus palpitante et totalement dingue ! Je dois admettre que je ne m’attendais pas du tout au chemin pris l’histoire et j’ai été passionnée par cette recherche de vérité.
L’auteur distille les informations au compte-goutte, de quoi maintenir notre intérêt tout au long du récit et nous donner envie d’en apprendre toujours plus. Comme il s’agit d’un premier tome, tout n’est pas encore dévoilé, mais il fait déjà plus que fort avec ce premier opus !
En parallèle de cette enquête, les courses sont toutes plus dingues les unes que les autres. J’ai vraiment eu la sensation d’y être et de les vivre en direct, ce qui est passionnant et en même temps un peu stressant. Ce que nous commençons de découvrir intrigue fortement et le dessous des courses fait vraiment frémir.
Si le récit est incroyable et les rebondissements nombreux, j’ai eu plus de mal avec l’héroïne. Elle est vraiment badass, il n’y a pas à dire, et j’adore vraiment ce côté-là. Toutefois, elle a des attitudes et des manières de faire avec lesquelles j’ai du mal et je dois admettre qu’elle m’a un peu énervée par moment et que j’avais très envie de la faire descendre de son piédestal.
Mais en même temps, c’est par ce caractère et cette façon d’être que l’histoire prend aussi tout son sens. Donc, comme le dit si bien l’auteur, Faby c’est une héroïne « qu’on aime détester ou qu’on se déteste d’aimer ». Je ne pourrais pas mieux résumer mon ressenti !
 | En bref, j’ai totalement accroché à ce roman extrêmement rythmé et plein de rebondissements. Je n’ai qu’une hâte : lire le tome suivant ! Alors, quand est-ce que vous allez le commencer ? |